Contre le ‘Sukëru koor’ : plaidoyer pour une rupture des pratiques au sein de l’Assemblée nationale

‎Cela fait bientôt trois ans qu’à l’interne de la fraction parlementaire de mon parti Pastef je me bats contre certaines pratiques comme le « Sukëru koor ». Notez bien : trois ans. Bientôt trois ans cela veut donc dire depuis le groupe parlementaire Yewwi Askan Wi. J’ai défendu à l’époque l’idée selon laquelle nous ne pouvions pas aller à une élections présidentielle que nous voulions gagner en adoptant certaines des pratiques parasitaires des anciens régimes. Cela ne pourrait pas convaincre les populations que nous allions opérer la rupture car incapables de le faire moins de deux ans de l’élection présidentielle de 2024.

‎J’ai toujours été minorisé sur la question du « Sukëru koor ». « Que celui qui veut prenne et que celui qui ne veut pas ne prenne pas » me répondait-on. J’ai toujours poursuivi la lutte à l’interne contre certaines pratiques comme le « sukëru koor » car j’estimais et continue d’estimer que ces genres de pratiques ont fait que les citoyens ont détesté l’Assemblée nationale et les différentes maj